Profitant de l’intermède de soleil que nous avons eu hier (25 février), je suis allé à Grosbois pour nourrir les bestioles.
Après un tour d’horizon rapide du rucher - dont la vision de ce qu’il est devenu à présent, par rapport à ce qu’il fut dans le passé, m’attriste à chaque fois -, je n’ai rien remarqué de spécial, sinon les traces de visites de Woody Woodpecker, signalées antérieurement.
Autre constat :
Je suis loin d’être adepte de l’utilisation de certains produits “chimiques”, mais le fait est que... regardant les 2 planchers identiques (de fabrication du C.A.T. Robida) mis en service en même temps sur les ruches 32 et 31 : l’un (à gauche et à droite) peint avec une peinture, spéciale bois extérieurs, dite “microporeuse” (dans ce cas, même lorsqu’il s’agit de peintures glycérophtaliques, on ne dit pas qu’il s’agit aussi de produits “chimiques”...), l’autre (ci-dessous) traité au Carbonyl.
Le premier est bon à être brûlé, le second est encore en très bon état, bien qu’étant à présent très éclairci, il nécessiterait à présent une nouvelle couche.
(Ceci étant, c’était une expérience que j’avais faite pour voir, et, bien sûr, je n’utiliserais jamais de Carbonyl pour d’autres éléments de ruches que les planchers.)
Autre image : dispositif anti-Woody, mis en place trop tardivement, pour raison de santé (J’avais fourni un certificat médical à Woody, pour solliciter son indulgence, mais rien n’y a fait.)