Observation
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Explication
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Le nourrissement stimulant d'une durée de 10 à 12 jours a déjà ommencé en juillet.
Comparez l'activité de vol et les rentrées de pollen dans les
colonies qui sont nourries avec l'activité bien inférieure de celles qui, à titre d'expérience, ne reçoivent rien.
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Par ce nourrissement (1:1) on trompe la
colonie en lui offrant une miellée. La reine est stimulée et augmente la ponte. En ajoutant un peu de miel, le résultat est encore meilleur ainsi que l'expérience le prouve.
Les nombreuses larves exigent des prestations supplémentaires des
vieilles butineuses. Ces nombreux vols éliminent les malades éventuelles qui auraient bientôt encombré le plateau et assainissent ainsi les colonies.
C'est de cette façon que l'on crée une race d'abeilles solides,
prêtes à hiverner.
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Un groupe de faux-bourdons affaiblis se trouve aux environs du trou de vol.
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La "bataille" des mâles se termine. Dans quelques jours ils seront tous morts devant la ruche. Reconnaissons que la nature a bien fait de ne pas donner d'arme au faux-bourdon !
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Presque simultanément plusieurs
colonies sortent des nymphes de faux-bourdons, blanches, brunes et presque
complétement développées, devant le trou de vol.
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Le dernier couvain de faux-bourdons qui se
trouve encore dans la colonie est enlevé des cellules (Cela peut aussi se passer en juillet).
Les colonies qui possèdent une forte propension à la ponte
enlèvent énéralement les larves de faux-bourdons quelques
jours plus tard que les autres.
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Un essaim artificiel possédant une
reine de l'année, semble être parfaitement en ordre, mais il vole faiblement.
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En l'examinant, on ne trouve que 2 ou 3
cadres contenant du couvain et les abeilles nourricières manquent.
C'est trop peu pour un bon hivernage et un développement normal au
printemps. Il faut le renforcer petit à petit en lui donnant chaque fois
un cadre de couvain naissant, sans abeilles, provenant d'une forte colonie ou bien le réunir avec un autre essaim.
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Le trou de vol d'une colonie laisse
échapper une odeur aigre de pourriture et de colle forte.
Devant le trou de vol ou dans la fente entre la ruche et la planche d'envol, on
observe de petites boules de couleur brun foncé de la grosseur d'une
tête d'épingle.
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Le couvain de cette colonie est malade. En ouvrant la ruche, la mauvaise odeur devient encore plus prononcée. On observe d'abord les cadres qui ont du couvain récent pour voir si des cellules operculées sont affaissées ou trouées. Si ces cellules contiennent un liquide visqueux que l'on peut étirer avec un bâtonnet, cette colonie est atteinte de la loque américaine ou
maligne. S'il s'agissait de la loque européenne ou bénigne, le
contenu des cellules ne serait pas visqueux.
Dans les deux cas, le couvain mort est le plus souvent desséché
sous forme d'écailles brunes collées sur la paroi intérieure des cellules.
Ces maladies très contagieuses doivent être signalées aux autorités !/p>
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